Les petites fermes à la région montagneuse de Ninh Binh
Les agriculteurs à la cité municipale Yen Quang au district de Nho Quang développent le modèle d’élevage en ferme qui remporte de l’efficacité économique
Développer l’économie en région montagneuse devient la stratégie à court et long terme du Vietnam, les petites fermes gérées par foyer assureront la maitrise dans l’agriculture et promouvront la progression de l’économie. Cette lecon a été tirée par les petites fermes à la région montagneuse de Ninh Bnh
Les changements à Ban Long
Afin de passer 12 km du bourg Gia Mien au district Nho Quan, il faut pourtant traverser 2 ponts: pont De et pont Nho Quan. Lors d’arriver au premier qui relie 2 bord d’un bras du fleuve Hoang Long, les bâteaux en direction de Chi Ne (Hoa Binh) chargent du riz,du sel,de la sauce de poisson,des matériaux de construction, ceux démarrant vers Phu Ly transportent du bois, des pousses de bambou, des bananes, de l’ananas, des auriculaires ….
En provenance du bourg montagneux Nho Quan, nous sommes difficilement arrivés au siège de la comité populaire de la commune Thach Binh qui fait 17km de longueur et 5km de largeur. Ses 3 hameaux montagneux: Quang Mao, Dam Rung, Bai Long font tous plus de 4km de longueur, 3 km de largeur et adjacents à la province de Hoa Binh à l’ouest, au nord et à l’est. La plupart de sa population est l’ethnie Muong. Il est cependant que 10 ans avant, ce lieu consistait majoritairement les foyers pauvres, 80% des familles manquaient de l’alimentation pendant 7 mois et 20% des foyers étaient affamés toute l’année.
J’ai demandé par curiosité aux habitants: “pourquoi l’hameau porte-il le nom Bai Long (le berge de Long) alors qu’il n’existe aucun fleuve. M. Dinh Nien Quach, un âgé explique : “il s’agissait du terrain des bananiers sauvages, les habitants n’avaient pas de riz, il fallait manger les inames toute l’année. Certains devait par le besoin d’aliment consommer du bananier. Actuellement, les rituels démodés subsistent encore, surtout la superstition: le cadavre est gardé 3 jours après la mort, le deuil est long et couteux, ne jamais visiter les docteurs et inviter les sorciers pour prendre soin , 100% de la population sont alphabètes.
La raison venait de l’ancien régime de coopérative. On travaille maintenant à forfait et on maitrise mieux. Au lieu de cultiver les riz de bas rendement, on diversifie les plantes qui remportent plus de profits.
Les familles exemplaires de l’hameau
Avec plus 100 foyers et 1000 habitants, la culture sur plus de 200 hectares est le point fort ici. On dispose de 50% de foyers aisés, 30 % de foyers moyens et 20% de foyers pauvres.
Depuis 5 ans, grâce aux larges terrains. Thach Binh ainsi que 3 villages montagneux changent leur aspect chaque jour dans le développement de petites fermes. Les foyers recoivent une certaine surperficie de colline qui consiste peut-être d’une grande ou menue parties… où on cultive les bois et les fruitiers, en même temps élève les animaux. Par exemple : mr. LUU possède 10 000 arbres de bois, 1 hectare de 200 longaniers, une part des bananiers, pommes-cannelles, il élève aussi 48 chèvres sans compter les autres vaches, cochons,…
Le profit de ce type se multiplie de plus de plus, en moyenne 2 millions vnđ/mois, le bien augmentera certainement lorsque les milliers de bois auront été vendus dans le futur.
Grâce au bon développement du modèle, le royaume thailandais a aidé un financement pour Thach Binh : on a fait construit même une école primaire pour les enfants de CP,CE1,CE2 dans l’hameau, ils continueront postérieusement leurs études dans les écoles ailleurs. Les foyers s’échappent également à la famine et à la pauvreté.
Thach Binh rencontre pourtant les difficultés en matière d’exporter leurs marchandises à cause de la difficulté en transport
Par conséquence, avec les mouvements positifs de la production, les régions rencontrent encore beaucoup de problèmes dans la culture – société . si on peut les résoudre, leur économie ainsi que la sécurité évoluent surement.