La nature merveilleuse de Van Long
Lorsque les premiers rayons de soleil dégagent le brouillard, le marais de Van Long émerge comme une une pittoresque peinture au cœur de l’ancienne capitale de Hoa Lu. S’étendant sur 3500 hectares dans 7 communes du district Gia Vien, Van Long dispose d’une riche flore et variée, en particulier les herbes et les roseaux humides.
Le relief du marais est original car le niveau d’eau ne dépasse pas 1 – 1,5m. Les touffes de roseau se poussent vigoureusement qui ne permettent qu’à une seule barque passer, il existe par contre les vastes zones d’eau lorsqu’il fait beau, devient un gigantesque miroir réfléchissant les paysages impeccables.
Pour vous rendre profondément aux grands sites à savoir les montagne de Meo Cao, de Mam Xoi, de Hom Sach, de Da Ban, de Nghien, de Mo Coi, de Co Tien, les grottes de Ca, de Bong, de Rua… votre barque devrait traverser beaucoup de hautes touffes de roseaux .
Au loin , au sein des touffes, nous remarquons quelques pêcheur qui lancent les filets . De plus en plus, la barque nous mènent à une grande vaste zone d’eau où les ombres se réflètent sur la surface.
Le plus merveilleux lieu du marais de Van Long se trouve à la grotte de Ca qui perce sous-terrain le rocher calcaire, s’étire sur 250m, s’élarge sur 25m au point maximum et s’élève sur 3 – 8m.
Entrer dans la grotte de Ca, les touristes peuvent observer directement les stalactites et stalagmites successives, les langurs de Delacour extrêmement rares qui s’amusent sur les éperons de rochers.
On recense 150 langurs de Delacour y vivent encore soit une moitié de cette espèce au Vietnam. Il semble d’un enfant portant un petit calecon.
Pour admirer ces animaux précieux aux hauts éperons, il vous faut de la chance et des bons équipements. Nous avons eu la chance d’en observer quelques-uns.
Quand le groupe des barques s’arrêtent à la base de la grotte de Ca pour observer les langurs de Delacour qu’un porteur nous aborde dans la fierté de sa province : « Ils ont habitude original conforme aux hémidactyles qui s’attachent au mur en écartant les jambes et bras pour embrasser les pierres en vue de prévenir aux animaux dangereux. Ils ne font leurs besoins qu’au lieu fixé, ils ne se battent jamais, les combats n’ont lieu qu’en cas d’envahissement du territoire de l’autre groupe. »