Le grand patron de Ninh Binh – un géant collectionneur d’antiquités

Avec plus de 5000 objets d’antiquités parmi lesquels certains atteignent quelques millions de vnđ. Mr.Van Dan DINH est surnommé par les autres collectionneurs « le roi des antiquités » auprès de ses expériences ainsi que la valeur de son trésor.
Une gigantesque collection d’antiquités de rêve
Né en 1950 à Hoa Lu (Ninh Binh), Mr.Van Danh se passionnait pour les antiquités depuis son petit âge vu que son père était également un fervent. Il a énormément appris d’expériences de son père lorsqu’il l’observait en train d’ardemment contempler son trésor.

Mr.Van Dan se tient à côté de son nouvel ancien objet.

Lorsqu’il avait 30 ans, il a contribué d’énorme temps à élargir sa collection. A temps actuel, la fortune se compose d’environ 500 pièces dans lesquelles certains sont hautement estimés par les collectionneurs à savoir les vases porcelainiers, céramiques, les broloques en jade, les pairols d’encens, les jarres…
« Je collectionne par la passion et par le désir de conserver les originalités du peuple à travers plusieurs hauts et bas moments de l’histoire », explique-t-il.
Il a aussi ajouté qu’à Ninh Binh, il est le numéro 1 de cette collection. Par ailleurs, parmi ses 8 frères et sœurs, 5 personnes ont la même passion.

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Un œuvre de la dynastie Ming

Pour devenir un vrai collectionneur, il conseille d’avoir des connaissances historiques, culturelle de chaque dynastie ainsi que l’aptitude d’analyser les couleurs, les motifs, les émails…. En outre, il faut organiser un groupe des collectionneurs afin d’échanger , de comparer les produits car les faux objets existent énormément.
« actuellement, les contrefacons se répandent au Vietnam et dans le monde entier, les techniques de production sont aussi avancées que fines, juste comme l’original. Dans les pays développés dont le marché est transparent, les vendeurs annoncent publiquement les contrefacons au prix léger, par contre, les vendeurs vietnamiens les vendent au prix d’objet précieux. On a malheureusement du subir des pertes».
Les faux objets actuels se ressemblent identiquement aux vraix modèles, parfois les machines ne peuvent pas les détecter. Alors, même les antiquitaires rencontrent parfois les arnarques .

Un espace dans la salle d’exposition

Sa collection se diversifie, de quelques millions à des centaines de millions de Vnđ. D’après lui, ce plaisir n’est pas encore forcément développé,peu de gens osent dépenser une fortune à en acheter un, le cas est tout autre à l’étranger, on les y met en enchère pour des millions de dollars.

Le vase en chaux à motif d’un oiseau.

Un flacon en chaux de la dynastie Le qui fait 40 cm de hauteur

Les pierres précieuses

Le rayon des vases en chaux

Une vitrine des précieux anciens objets

Autre coin de la chambre

Mr. Van Dan DINH à côté de sa collection, son portrait 40 ans avant se trouve juste derrière
Acheté pour 500 000, vendu pour 120 millions
Il a passé plusieurs aventures lointaines afin d’acquérir les objets auprès de chaque secteur géographique, Hoa Binh, Dong Son- Thanh Hoa, les hautes montagnes au Nord-Ouest…chaque qu’il écoute de l’information sur un nouvel objet, il contacte le propriétaire en demandant de la forme puis il partirait tout de suite.
On a possédé des œuvres pour le bon marché prix – quelques centaines milles ou millions et il les a vendus pour des centaines de millions. Récemment, il a eu une négociation avantageuse grâce à la vente d’un vase de la dynastie Ming au magnifique motif, intacte 100% qui lui a remporté 120 millions alorsqu’il l’avait racheté pour 500 000 vnđ.

Le vase céramique de la dynastie Ly qu’il a restaurée

Evidemment, à son âge jeune, il a payé cher son plaisir par les contrefacons : un joli vase en chaux de la dynastie Le lui a été mis dans les mains pour plus de 50 millions de vnđ. Il ne reconnaissait rien qu’après la visite de ses amis collectionneurs. Un choquant fait qui lui coutait cher .
Étant outre antiquaire, Van Dan est encore un restaurateur expérimenté. Il a réparé les produits cassés ou ébréchés dus par la faute humaine. Son qualification est hautement estimée par les collectionneurs.

La collection des vases en chaux qui sont habilement restaurés.

Le métier de restauration lui est arrivé grâce à sa passion pour les anciens objets. Lorsqu’il remarque des objets ébréchés qu’on devait trouver un expert au prix énorme, il a au fur et à mesure du temps appris le travail.
Malgré ses 40 années d’attacher à la collection, il débute la restauration à peine 10 ans, d’après lui, ce métier demande 30 années d’expériences d’être antiquaire pour mieux comprendre les œuvres.
A temps actuel, il recoit non seulement ses amis du groupe mais encore les collectionneurs qui ont besoin d’une restauration fine et minuitieuse.
Mr. Dan affirme fermement qu’il tient la première place des grands collectionneurs à Ninh Binh. Chaque objet a sa valeur différente auprès de son esthétique. Le prix ne dépend pas majoritairement de l’ancienneté mais la combinaison de l’esthétique et le matériel.